C'est l'histoire d'un film, Clic-Clac, celui que veut tourner Claire Ganz à la mort de sa mère. Pour couper la tête à son mélodrame et à ce cinéma d'hommes qui ne montre jamais que des femmes éternellement transies d'amour. Comme on a sorti la scène d'adieu, on la range. Une scène pliable, clic-clac. Dire, c'est tout, fini, terminé. Cut.