Come Prima
Celso prétend être devenu un homme heureux et accompli. Cet élégant écrivain profite de la douceur de Rome et de la tendresse d'Antonia, épousée trente ans plus tôt, pour panser les plaies d'une passion dévastatrice.
Mais un jour il reçoit un message. Elena - celle-là même qu'il a eu tant de mal à oublier. Elle l'informe qu'elle sera bientôt de passage et qu'elle aimerait le voir.
Douze jours, voici le temps qu'il lui reste. Pour comprendre ce qui le rendait si vivant au côté de celle qui l'aurait à coup sûr empêché d'être heureux et accompli.
Douze jours pour savoir s'il est prêt à tout risquer, avec l'espoir de revivre ce frisson, come prima.
Entre drame et comédie, le roman met à nu un anti-héros profondément attachant. « Celso, c'est moi, dit Sophie Simon. Sa lâcheté, ses angoisses et ses doutes sont les miens. » Mais c'est aussi la combinaison de grandes figures italiennes, le Zeno de Svevo, Mastroianni, Gassman, Sordi, des personnages superbes et pathétiques, qui ont accompagné l'auteure durant l'écriture de Come Prima, comme dans sa vie.