Si, derrière la fusillade fantasque de la presse, l'auteur
sentait qu'il existe une autre sorte de critique, l'opinion
de gens qui lisent par amour de la lecture, lentement
et pour le plaisir, et font preuve dans leur jugement
d'une grande compréhension mais aussi d'une grande
sévérité, cela ne pourrait-il pas améliorer la qualité
de son travail ? Et si grâce à nous les livres pouvaient
devenir plus forts, plus riches et plus variés, cela
vaudrait le coup d'atteindre pareil but.