Quel roman que la vie de Myriam ! Orpheline de bonne heure, éduquée dans un pensionnat à régime sévère, mariée à un homme qu'elle aime, voilà qu'elle se retrouve veuve sans ressources à 28 ans. La société qui employait son mari lui refuse tout secours... que faire ? C'est une oie blanche, mais c'est surtout une beauté comme on en rencontre peu. C'est simple, elle louera ses charmes à des messieurs bien sous tous rapports - je dis bien " tous " capables d'apprécier cette chose sans prix?: une belle femme naïve qui aime ça !
Pour ce roman (car ce n'est qu'un roman, tout est inventé), Alegarec a laissé vagabonder son imagination. Il prétend qu'il voulait écrire " un conte de fées pour grandes personnes "... Un livre à lire à deux, en hiver, devant un feu de cheminée...