Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Malerei im fast schon klassischen Sinn ist es allemal - aber erst auf den zweiten Blick. Der erste gilt den Motiven, die Cornelius Völkers Leinwände in Übergröße beherrschen: Männer oder Frauen, die sich den Pullover über den Kopf ziehen, Mädchen mit Handtaschen auf dem Rücken oder vor dem Bauch, immer im Ausschnitt gesehen, Arm- und Beinhaltungen in den unterschiedlichsten Variationen, eher ungelenk wirkende kleine Ballerinen, Schwimmer und Schoßhündchen, Badeschlappen, riesige Tafeln Schokolade, Teebeutel, Zigarettenasche... Die Trivialität der Sujets steht bei Völkers Bilderserien zweifellos in der Tradition der Pop Art, die malerische Umsetzung nicht. Bei näherem Hinsehen entwickeln Farbauftrag und Pinselstrich ein geradezu physisches Eigenleben, das die Motive zu dominieren beginnt. Farbe in allen denkbaren Zuständen - pastos, glatt, mehrfach geschichtet, verrührt, cremig oder zentimeterdick aufgetragen - schafft erst die Formen dessen, was schließlich als Bildinhalt sichtbar wird, ob Mensch, Tier oder Ding. Malerei um der Malerei willen, vorgeführt an belanglosen, beliebigen Sujets? Mehr als das: ein virtuoses -und dabei intelligentes, oft auch ironisches - Spiel mit der Dialektik des Trivialen und Erhabenen.