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Para algunos, Pedro I fue siempre «el Cruel», para otros «el Justiciero». Solo la historia pudo juzgarlo. Solo esta novela puede retratarlo. Tras Matar al rey, José Luis Corral cierra la bilogía sobre el siglo más sangriento de España. 1350. Todos los grandes reinados empiezan con una corona ensangrentada. Cuando Alfonso XI, Rey de Castilla y León, muere a causa de la peste negra durante el asedio a Gibraltar, el reino queda huérfano, con las fronteras amenazadas y las cosechas devastadas. Será entonces cuando su hijo Pedro, un joven de quince años con gran sed de poder, que ha vivido apartado y marginado de la corte, se coronará rey. Empujado por las ansias de venganza de su madre, María de Portugal, y amenazado por la vil mirada de su hermano bastardo, Enrique de Trastámara, Pedro I provocará una oleada de violencia, odio y masacres que determinarían el destino de los reinos de Castilla y León, Portugal y Granada y de la Corona de Aragón. Su reinado continuaría las traiciones, las alianzas y las guerras, desatadas por la envidia, amores prohibidos, sexo e intereses ocultos que traspasaron los muros de palacio y marcaron para siempre esta época como una de las más sangrientas de nuestra Historia. Corona de sangre es la segunda entrega de la bilogía que comenzó con Matar al rey. Ambas novelas narran los sucesos acontecidos en el siglo XIV,el más cruel y violento de la historia de España, y que culmina con su último -y más controvertido- rey: Pedro I de Castilla.