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«El dadaísta ama el sinsentido y odia la estupidez.» Así resume Raoul Hausmann el impulso dadaísta de subversión de la civilización que trajo la I Guerra Mundial como la nube trae la tormenta. Estupidez de la ciencia que perfeccionó la maquinaria militar, estupidez del arte y la literatura que enaltecieron la guerra, estupidez de la razón instrumental que manipula todo lo que toca, estupidez de la explotación capitalista que produce individuos estúpidos, etc. El programa dadá opuso una «lógica del absurdo» a la estupidez organizada. El poema fonético contra el lenguaje devastado y vuelto imposible por el periodismo. El fotomontaje para desintegrar las formas semánticas establecidas y engarzar de otra forma lo decible y lo visible. El haptismo como indagación de una sensorialidad excéntrica. El arte nuevo como dislocación del individuo moderno, su óptica posesiva, su seguridad vertical sobre el mundo, su presencia soberana. Raoul Hausmann se entregó en cuerpo entero a esta «revuelta lógica» como uno de los fundadores del Club Dadá de Berlín, que exploraba el camino entre el radicalismo político y el antiarte. En su «Correo Dadá», que apareció en 1958, repasa la historia del asalto dadaísta a la realidad, recoge manifiestos y proclamas, evoca la invención del fotomontaje y la nueva pintura, recuerda las delirantes veladas dadaístas con Richard Huelsenbeck y Johannes Baader, su amistad con el «anti-dadá merz» Kurt Schwitters, etc. Hoy, en una sociedad anestesiada, en la que incluso los movimientos más reivindicativos son tan previsibles, ojalá el precioso testimonio de Hausmann pueda contagiarnos algo de la bendita locura dadaísta, donde la ligereza y la gracia se fundían con el mayor de los atrevimientos en un gesto de desafío. «¡Vuela escarabajo!»