Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Les petites phrases de Séguy, les grandes phrases de Marchais, les rumeurs autour d’un intellectuel qui parle trop (exemple Pierre Daix), les prises de position sur la Tchécoslovaquie ou sur le sort des écrivains en U.R.S.S., voilà ce qui alimente habituellement la polémique sur le P.C.F. Mais, par l’identité des thèmes, cette polémique aligne la critique de gauche sur la critique de droite, reprenant dans le même sens qu’elle la fameuse question des libertés : il s’agit toujours de la liberté des intellectuels, plus que du peuple, des libertés formelles plus que des libertés concrètes. C’est la raison pour laquelle ce débat n’intéresse pas en profondeur la population. Notre but est de substituer à la critique politicienne du P.C.F. une critique pratique. De laisser aux spécialistes l’exégèse de ses discours et proclamations centrales pour n’envisager que son comportement dans les luttes. En face des gens en lutte, que dit le P.C.F. ? Comment est-il écouté ? Que signifient les mots quand ils ne sont plus des mots d’ordre ? La stratégie du P.C.F. est-elle radicalement incompatible avec ce qui est né de mai 68 ? Ceux qui dans ce livre tentent de répondre à ces questions, ne sont pas les représentants d’un courant politique et organisé. Impossible de les définir par une étiquette politique ou sociale. Gauchistes ? Oui, si les ouvriers de Lip le sont. Marginaux ? Oui, si des juges ou des médecins peuvent être appelés ainsi. Leur seul dénominateur commun est d’incarner la volonté de plus en plus forte d’autonomie populaire. Ce sont ces hommes et ces femmes qui, depuis mai 68, ont appris à compter d’abord sur leurs propres forces.