Crève, Ducon !
« À dix-huit ans, du haut de mon mètre quatre-vingt deux, je dominais tout le monde. Je me souviens, dans le métro, j'étais tout seul, là-haut surplombant une forêt de crânes plus ou moins garnis de cheveux et pas toujours éclatants de propreté. »
Après Lune de miel, on retrouve ici la gouaille réjouissante de Cavanna, ses coups de colère, ses anecdotes, ses élans d'affection, sa passion de la langue et de la littérature. Ce dernier texte écrit avant de mourir est aussi une déclaration d'amour à la vie et à la liberté : une véritable oeuvre d'écrivain.