En entreprenant de rendre compte du Salon de 1870, nous devons dire tout d’abord quel sera l’esprit de notre travail. Nous nous attacherons surtout à signaler les productions des nouveaux venus qui nous paraissent avoir le plus d’avenir. Nous laisserons donc en partie de côté les artistes en possession de la renommée ; pour nous consacrer aux débutants, à ceux qui sont encore contestés ou incompris.
Et maintenant, quel sera notre fil conducteur pour le choix que nous allons faire d’un certain nombre d’artistes au milieu de l’immense armée de peintres qui envahit le palais de l’Industrie ?