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Lorsqu'il publie en 1925 sa très fameuse Lettre à Monsieur le législateur de la loi sur les stupéfiants, Antonin Artaud se décrit comme un « toxicomane malade », buveur de laudanum par nécessité et non par dilettantisme. Ce positionnement justifie la violence de son imprécation : « Monsieur le législateur de la loi de 1916, agrémentée du décret de juillet 1917 sur les stupéfiants, tu es un con. [...] Je te souhaite que ta loi retombe sur ton père, ta mère, ta femme, tes enfants, et toute ta postérité. Et maintenant avale ta loi. » Dans cet ouvrage, nous interrogeons l'étonnante modernité de ce texte ainsi que ses paradoxes. La destinée tumultueuse de l'écrivain est réexaminée à la lumière de son addiction au laudanum, mais également des obstacles réglementaires auxquels il dut faire face, et des ruses qu'il dut mettre en oeuvre pour se procurer, coûte que coûte, le remède tant convoité.