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Un maître de la prose interroge la peinture. Si Marcel Arland a découvert la vie des formes en même temps que Malraux et avant lui, il l’a fait d’une tout autre façon. Non comme une provocation à la pensée philosophique, mais comme on le ferait d’un ami qui, par des chemins différents, poursuit un même objet. Cet art rival et fraternel, il le sait et le veut différent de celui qu’il a choisi, doué d’autres pouvoirs qu’il entend célébrer chez les grands peintres du passé Piero della Francesca, Rembrandt, Poussin, de La Tour, Chardin et plus proche et intime, Van Gogh ou découvrir au fil des expositions, des rencontres et des années chez les contemporains qui se nomment Rouault, Klee, Soutine, Braque, Bonnard, Chagall, beaucoup d’autres encore. Mais Marcel Arland ne cessera d’exiger de la peinture cette même fidélité ardente et rigoureuse, qu’il poursuit dans ses livres, afin qu’elle apporte « à la vie humble et souffrante, sa lourde parure de terre et de ciel ». Au-delà des frontières des langages et des signes, s’annonce l’unité du projet esthétique autant que moral, qui conduit vers la Grâce. Celle des grands peintres. Celle de cette prose qui, au service de la peinture, démontre une fois de plus ses pouvoirs incomparables. Jean Blot