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Helga war einmal ein beliebter Vorname. Auch Christina Maria Landerls Mutter heißt so. Hieß, besser gesagt. Sie ist früh verstorben, da waren ihre beiden Töchter und der Sohn noch Kinder.Die mittlere Tochter, Christina, hat sich aufgemacht, dem Menschen Helga auf die Spur zu kommen. Doch die Spuren sind spärlich; der Vater redet nicht gern über die Zeit mit Helga, und der Großmutter scheint die Erinnerung an ihre Tochter körperliche Schmerzen zu bereiten. Am verlässlichsten berichten noch die Freundinnen, über den streng reglementierten Tagesablauf im Klosterinternat zum Beispiel. Und zum Glück haben sich Fotos und Briefe erhalten. So lassen sich die Eckpfeiler des ,Buches Helga' rekonstruieren, doch die Farben, die Nuancen dazwischen muss die Autorin sich vorstellen. Welche Musik hat Helga gehört, wenn sie verliebt war? Hat sie, ein Kind aus einfachen, ländlichen Verhältnissen, manchmal von einem anderen Leben geträumt? Hat sie gelacht, bis ihr die Tränen kamen, und hat sie gebetet, als sie von ihrer Krankheit erfuhr?In ihrem bisher persönlichsten Buch erweist sich Christina Maria Landerl einmal mehr als ,Meisterin der Zurückhaltung'. Hinter der scheinbaren Sachlichkeit ist immer der übergroße Verlust spürbar. Von einem viel zu kurzen Frauenleben erzählt uns dieses Buch, das der einen und zugleich all den anderen Helgas gewidmet ist.