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Mit großer Ausdruckskraft schildert Zech in diesen frühen Erzählungen den Alltag und die Grenzerfahrung der sozial Schwachen.InhaltDas Reiterliedchen 7 | Henriette 33 | Das Ereignis 73 | Der unendliche Flug 95 | Das verschleierte Bild 113 | Kamäa 131 | Eliane 143 | Jadwiga 175 | Suzanne 209»Geht man östlich vom Niederrhein die breite Heerstraße hinauf, schrumpfen die braunen Äcker krumm zusammen. Heide und Schlehdorn flankieren Gräben. Waldfetzen krümmen sich wie arme Mysterien. Steinadern laufen quer über den Weg, springen ins Feld und heben die Acker höher und höher empor. ... Unten der Fluß, gewaltsam in enge zerklüftete Rillen gezwängt, ist ganz schwarz, blau und grün von dem ausgestoßenen Unrat der Färbereien. Giftiger Brodem entsteigt dem Gewässer und beklemmt den Atem aller Kreatur. Geistert eine irre Angst uferentlang. Und die Menschen, tagsüber in dumpfe Löcher der Werkhäuser gepfercht, leben ein greises Fronleben wie eine strenge mönchische Religion. Sie kleiden sich in stumpfes Schwarz, geben ihren Kindern biblische Namen und sind kalt und verschlossen in Gesprächen mit fremd hier her Gereisten.«