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Henry Jaeger knüpft mit "Das Freudenhaus" an den Erfolg seines ersten Romans "Die Festung" an. Wieder beschreibt er eine Randgruppe der Gesellschaft.
Im Mittelpunkt stehen die verlebte Rosa und Leopold, ein in die Jahre gekommener zweitklassiger Clown, die sich zu einer Zweckehe verbinden. Sie eröffnen die Gaststätte "Artistenklause" und versuchen ein ehrbares Leben zu führen. Um das schlecht laufende Lokal auf die Beine zu bringen, lädt Rosa immer öfter alte Bekannte ein, die offensichtlich aus dem Rotlichtmilieu stammen. Als dann noch Zimmer in den oberen Stockwerken angemietet werden, ist der Wandel des Hauses zum Bordell vollzogen, zu einer Bühne der Schicksale, Sehnsüchte und Illusionen. Henry Jaeger schildert eindringlich das Leben, die Probleme und Begegnungen der Prostituierten, Freier, Luden und Bordellbetreiber, die auf der Schattenseite des Wirtschaftwunders stehen. Dass Geld allein nicht glücklich macht, erfahren die Protagonisten auf ganz unterschiedliche Weise. Letztlich zerbricht nicht nur die Ehe von Leopold und Rosa, auch die Lebensperspektiven der anderen scheinen zerstört.
"Henry Jaeger ist der erfolgreichste Frankfurter Schriftsteller nach Goethe." (Peter Zingler in BILD vom 9.10.12)