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Die Idee der sympathischen, lebensklugen Denise von Schoenecker sucht ihresgleichen. Sophienlust wurde gegründet, das Kinderheim der glücklichen Waisenkinder. Denise formt mit glücklicher Hand aus Sophienlust einen fast paradiesischen Ort der Idylle, aber immer wieder wird diese Heimat schenkende Einrichtung auf eine Zerreißprobe gestellt. Diese beliebte Romanserie der großartigen Schriftstellerin Patricia Vandenberg überzeugt durch ihr klares Konzept und seine beiden Identifikationsfiguren.
Denise von Schoenecker hatte mit ihrem jüngsten Sohn Henrik ein befreundetes Ehepaar in Riemstein besucht. Das Töchterchen dieses Ehepaares hatte vor etwa einem Jahr eine Zeitlang in Sophienlust gelebt. Seit damals war Henrik eine Art Idol für das kleine Mädchen, was dem Jungen naturgemäß schmeichelte. Während der Heimfahrt nach Wildmoos befand er sich daher in bester Stimmung und sprach vom Rücksitz aus unaufhörlich auf seine Mutter ein. Er erzählte, was er in den vergangenen zwei Stunden alles mit seiner kleinen Spielgefährtin unternommen hatte, lobte ihre Geschicklichkeit beim Ballspiel, erwähnte, dass sie einmal hingefallen war und hob hervor, dass sie über ihr arg verschmutztes Kleidchen kein bisschen gejammert hatte. Plötzlich unterbrach er jedoch sein Loblied auf seine kleine Freundin und rief: »Mutti! Hast du gesehen? Das Waldhaus ist frisch verputzt. Dunkelgelb. Und die Fensterläden sind neu gestrichen. Braun. Früher waren sie weiß, aber die Farbe war total abgeblättert. Damals hat das Waldhaus unheimlich ausgesehen. Jetzt sieht es aus wie neu.« »Ich habe nichts bemerkt«, sagte Denise. »Erstens musste ich auf die Fahrbahn achten und zweitens auf dein Geschwä – hm – Geplauder«, verbesserte sie sich rasch. Henrik war nicht beleidigt, er schwätzte, beziehungsweise plauderte munter weiter. »Ob neue Bewohner in das Waldhaus eingezogen sind?«