Grèce-Sicile-Maroc : des lieux, proches de la mer et du soleil, sont ici nommés, accueillis sans complaisance, en des moments fugaces de «conviction» et d'éveil, dans une écriture toute de rigueur, éprise et retenue à la fois, qui s'efforce de résister à l'encombrement des émotions.
Dans D'autres étés, plus au sud, le poète et son lecteur ne quittent pas ce qui est réel et mémoire, visible ou dérobé. Ils ont éprouvé cette certitude : «en voyage, on est toujours au centre» (D. Sallenave).