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Der Brief des Anwalts ist unmissverständlich: Seine Frau will die Trennung, er muss die gemeinsame Wohnung verlassen, der Sohn bleibt bei der Mutter, das Auto kann er behalten. Weil er arbeitslos ist, hat er keine andere Wahl, als in ein altes Ferienhaus in einem Bergdorf zu ziehen, eine Stunde von der Stadt entfernt. Getrieben von der Angst, auch noch seinen Sohn zu verlieren, rast er den Berg hinauf und hinunter, nimmt jeden Gelegenheitsjob an, den er bekommen kann, pendelt zwischen seinem Psychiater und seiner Anwältin, pumpt sich voll mit Bier und Tabletten. Die Tage ohne Arbeit verschwimmen im Delirium, bis er anfängt, seine Umgebung wahrzunehmen, den Garten in Ordnung zu bringen, im Kamin Feuer zu machen. Er beginnt wieder zu malen, wie früher, wie Alfonso Ossorio, sagt man ihm, einer, der gemalt habe wie Jackson Pollock, nur ein bisschen anders. Vor allem aber wird das Ferienhaus zum Refugium, das er jedes zweite Wochenende mit seinem Sohn teilt. Hier ist Raum für Spiele und Vertrautheit. Hier kommt, zusammen mit dem Winter, langsam wieder Ruhe in sein Leben. "Davonkommen" ist ein einziges großes Decrescendo. Der Roman kann, muss aber nicht, als Vorgeschichte zu "Tage mit Felice" gelesen werden.