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Qui, jeune, n’a pas aimé Rimbaud ? Et qui n’a pas rêvé d’aller sur ses traces ? Évidemment, certains préfèrent regarder la télé… Françoise Nuñez, en 1980, avait 23 ans, et, après ses années flamenco de feu, la voilà avec un appareil photo et l’envie de voir le monde, de retrouver ses amis à Djibouti, de prendre le train fameux qui mène en Ethiopie. La voilà sur les routes de l’Afrique où Rimbaud était allé ne pas écrire ses poèmes de sable et de vent. Instinctivement, elle n’a pris que le 50 mm comme objectif sur son appareil, pressentant que la photo doit être simple et directe. Sans effets, pour bien parler, bien dire ce qu’on voit, bien faire passer les sens qui entourent le voyage avec mille odeurs neuves… Et, peut-être à cause du flamenco si rigoureux, elle sent que c’est le noir et blanc qui peut traduire le mystère de ce qu’elle cherche, de ce qu’elle veut découvrir… Cela s’appelle un voyage initiatique. Tout simplement. Et, en regardant ces images, on est vraiment dedans : on les sent, on les voit, on les entend, on les respire. Elle est, dès la première seconde, une vraie photographe, et pas une faiseuse. Elle ne fait pas ça pour plaire, mais pour être.