De la beauté
Cet essai tente de nouer plusieurs facettes de ce que pourrait être une herméneutique matérialiste, en prenant de la distance à la fois avec les divers effondrements du XXe siècle et avec les apories du début du XXIe.
Il s'agit donc d'une réflexion sue la signification, en sémiotique générale de la culture et des arts, sur le langage - réel - manifestation sensible. C'est aussi une approche rhétorique et dynamique de l'humain, et plus particulièrement, du résiduel humain.
Les thèmes abordés sont les figures du désir, avec l'hypothèse centrale de la sexualisation du langage, du significatif et de l'éthique ; sexualisation emblématisée dans l'ensemble des empires que les occidentaux catégorisent, de manière bien trop essensialiste, comme le ressentiment de l'art.
Peut-on alors faire émerger la notion de style et de beauté de la langue ?