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En novembre 1976, à la Conférence générale de l’Unesco, réunie à Nairobi (Kenya), est née l’idée-choc d’un « Nouvel Ordre Mondial de l’Information ». Cette revendication formulée par les pays du tiers monde se fonde sur une réalité simple : le réseau de l’information mondiale est aux mains des pays riches, tandis que les pays en voie de développement n’ont pas la place qui devrait justement leur revenir. À preuve ce seul fait qu’aujourd’hui, cinq grandes agences de presse, européennes et américaines, produisent et distribuent la matière brute des nouvelles publiées dans le monde entier ! D’où la nécessité de mettre en œuvre, à l’échelle du monde, une politique qui réduise l’hégémonie des grandes puissances. Mais décoloniser l’information, c’est aussi remettre en question, à l’intérieur des pays du Tiers-Monde, nombre de dirigeants et catégories sociales privilégiées qui confisquent l’information à leur seul profit ou entravent souvent l’essor d’une presse populaire et libre, dont des exemples intéressants existent pourtant, particulièrement en Afrique. Il faut aussi changer l’image du tiers monde dans la presse occidentale, peu ouverte aux problèmes internationaux, surtout en France, qui vit toujours sur des clichés et des préjugés. À ces conditions seulement pourront naître de nouvelles relations plus équilibrées dans le monde entre le Nord riche et le Sud pauvre, qui pourront conduire enfin au dialogue des cultures et à la solidarité des peuples.