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Die beste Kriminalpolitik ist und bleibt eine gute Sozialpolitik - postulierte der renommierte Strafrechtler Franz von Liszt (1851 bis 1919) vor über hundert Jahren. Diese Forderung fand nach dem Zweiten Weltkrieg in vielen europäischen Ländern grosse Resonanz und bestärkte die politischen Akteure in der Ansicht, dass sich Delinquenz nur auf der Basis einer sozialwissenschaftliche Analyse und Verbesserung der strukturellen Rahmenbedingungen sowie einer nachhaltigen Resozialisierung der TäterInnen vermindern liesse. Dieser Optimismus wird spätestens seit den 1990er-Jahren von individualistischen Kriminalitätstheorien bestritten, die den Menschen als rationalen Akteur konzipieren, der vornehmlich dann nicht delinquent wird, wenn ihm keine Gelegenheit dazu gegeben wird und die Tat, gemessen an der möglichen Bestrafung, mehr Kosten als Nutzen verspricht. Entsprechend finden heute vor allem Stimmen Gehör, die nach US-amerikanischem Vorbild schärfere Strafen, mehr polizeilichen Schutz und Überwachung sowie mehr Kontrolle öffentlicher Räume fordern. Dieser Sammelband bietet einen Überblick über aktuelle sozialwissenschaftliche und strafrechtliche Aspekte des Zusammenhangs zwischen Delinquenz, Bestrafung, Sozialarbeit und Sozialpolitik. Ausgehend von Perspektiven auf spezifische Delinquenztypen werden die normativen Grundlagen der Bestrafung, der gesellschaftliche Umgang mit TäterInnen und Opfern sowie Chancen und Grenzen präventiver Massnahmen thematisiert.