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Die heute etwa 3.500 Jäger*innen und Sammler*innen der Waorani lebten ursprünglich in einem weitläufigen Gebiet von etwa zwei Millionen Hektar, im Hügelland von Ecuadors Amazonien. Mitunter stark verfeindete Familiengruppen von etwa 30 bis 40 Personen pflegten eine seminomadische Lebensweise. Perioden relativer Stabilität und interethnische Fehden wechselten einander ab, nur wenige Nutzpflanzen wurden angebaut. Nachdem der Konzern Shell in den 1930er-Jahren bei Probebohrungen Erdöl im Territorium gefunden hatte, erzwang die amerikanische evangelikale Missionsorganisation Summer Institute of Linguistics (SIL) ab 1956 den Kontakt zu den Indigenen. Missionar*innen suchten die vor interethnischen Fehden geflüchtete Wao Dayuma auf, die in einer Hacienda eines Großgrundbesitzers als Dienstmädchen arbeitete. Auf diese Weise erlernten sie Waoterero, die Sprache der Waorani, erfragten Details zu den Gebräuchen und konnten sie schließlich 1958 zur gemeinsamen Rückkehr zu ihrer Familie bewegen. Sukzessive wurden weitere Waorani-Gruppen mit Kleinfliegern ausgespäht, kontaktiert und alsbald in ein Reservat verbracht.