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Carl Brun und sein Team des Schweizer Nachrichtendienstes NDB sind zurück. Was sich als Routineauftrag im Zusammenhang mit dem Verschwinden des wissenschaftlichen Mitarbeiters eines Agro-Chemie-Multis präsentiert, entpuppt sich schon bald als ein Netz aus Intrigen, in dessen Zentrum ein Name steht: Nukleus. Als Brun und seine Leute anfangen, sich mit dem Vertragswerk des meist nur "Der Fonds" genannten Finanzvehikels, das für nationale Stabilität und Souveränität steht, zu befassen, werden sie zurückgepfiffen. Auf Geheiß des neuen Finanzministers, Oskar Ludwig, machen sie jedoch weiter und stechen dabei in ein Wespennest, das in Wahrheit ein Abgrund ist, in dem ein Menschenleben nicht zählen darf. Egal, ob es sich dabei um jenes einer heroinsüchtigen Privatbankerin oder eines Regierungsmitglieds handelt, egal, ob in Basel, Zürich, New York oder Budapest. Für jeden, der mit dem Fonds und den Gottspielern im Hintergrund in Berührung kommt, reduziert sich alles auf die einfache Frage: Leben, überleben oder sterben? Wie schon Frank Jordans erster Roman "Die Ministerin" zieht "Der Fonds" den Leser erneut in eine Welt hinter den Tagesnachrichten, eine Welt totalen Machtanspruchs und Machenschaften, die phantastisch und absurd anmuten mag, dabei aber von beklemmender Realität ist.