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Hermann Lenz und der Protagonist seiner Erzählung Der Letzte, ein Graf namens Rudolf, haben sowohl typische Charakterzüge wie das Geburtsjahr 1913 gemeinsam. Als letzter Nachkomme seiner Eltern - Widerständlern, die vom Volksgerichtshof hingerichtet wurden - erinnert sich Rudolf, für den sich »die Vergangenheit jung anfühlt«, im Jahre 1970 an die Zeit nach dem Krieg, als sein Schloß von Flüchtlingen und Gestrandeten belegt war, und spannt von hier einen Bogen in die Gegenwart. Obwohl er beschlossen hat: »Ich will nichts mehr tun. Ich will nur zuschauen«, und sich auch an diesen Entschluß hält, gelingt es ihm, dank eines tüchtigen Verwalters, den ererbten Besitz zu einem landwirtschaftlichen »Großbetrieb« aufzubauen. In die Wiederbegegnung mit der eigenen Vergangenheit fällt Rudolfs Wiederbegegnung mit Olga, der einst ungestümen, lebenshungrigen Tochter des Dorfarztes, die verschreckt, vereinsamt und enttäuscht nach einer gescheiterten Ehe in ihren Heimatort zurückgekehrt ist. Rudolf erkennt in ihreine »innerlich Verwandte«.