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Band 4 der Robert-Musil-Gesamtausgabe bietet die zweite Fassung der Romanfortsetzung aus dem Nachlass, an der Musil von 1936 bis 1942 arbeitete, bis zu dem Moment, an dem ihm bei der Überarbeitung des Kapitels Atemzüge eines Sommertags am 15. April 1942 der Tod die Feder aus der Hand nahm. »[...] wie dieser Schlußband aussieht«, schreibt der Autor an einen Förderer in seinem allerletzten Brief: Er wird »aus einer Unzahl von Ideen, die uns beherrschen, weil wir keine von ihnen beherrschen, die Geschichte einer ungewöhnlichen Leidenschaft ableiten, deren schließlicher Zusammenbruch mit dem der Kultur übereinfällt, der anno 1914 bescheiden begonnen hat«. Der Mann ohne Eigenschaften ist ein Torso geblieben. Für den Herausgeber ergibt sich daraus die Aufgabe, das Unfertige aus dem Nachlass zu edieren. Und es gelingt ihm, wie keinem zuvor, dem Leser einen Weg durch das Dickicht der Entwürfe zu bahnen, ohne sich in den Einzelheiten von Musils Umschreibeorgien zu verlieren, und dabei die Absichten des Autors, die aus den Notizbergen zu erkennen sind, in lesbarer Form abzubilden.