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Friedrich de la Motte Fouqué (1777 - 1843) war einer der ersten deutschen Dichter der Romantik. Aus dem Buch: "Der große Richard nahm mich auf, wie es diesem Spiegel aller Ritterschaft geziemte, und als ich ihn bat, einen Verteidiger für mich aus seinem Heldengarten zu wählen, führte er seinen liebsten Waffenbruder vor mich hin, hieß ihn niederknien, und um die Gunst und Ehre bitten, mir Leben und Blut weihen zu dürfen. Wie stolz ich nun war, und mit wie gleichgültigen Blicken ich Folko am Hofe erscheinen sah, um den Kampf wegen des Ringes zu erneuen! Ach, mein Hoffen war dennoch vergebens. Ich hätte es ja wissen sollen, daß die fränkischen Ritter den englischen meist in der Gewandtheit des Turnierens überlegen sind. Mein tapfrer Verteidiger, sich dessen bewußt, hatte zwar als Bedingung des Gefechtes ausgemacht, das Lanzenrennen solle nicht alles entscheiden, sondern der Gefällte noch zum Gefecht mit geschliffnen Schwertern Zuflucht nehmen dürfen. Dadurch aber ward Folkos Sieg nur mühsamer, glorwürdiger und nicht minder gewiß. Mit drei tiefen Klingenwunden trug man meinen Kämpfer ohnmächtig aus den Schranken, und Folko kniete vor mir, mit sittigen Gebärden den Ring zurücke begehrend."