Regarde-toi au moins une fois, homo sapiens. Les dégâts de tes projets, sans éthique et sans foi. Tu dérives et ta prose est subterfuge.
« Viens sous l'arbre à palabres ! » Déplie ces nuages : des étoiles s'imposent. Dans cette nuit une pause, les rêves sont sans structures. Pense l'horizon ouvert. Libère-toi de tes cages, aplanis ces frontières et voyage léger. Interprète les signes et lis les sens cachés. Marche. Comme Raymond Gurême, au goût de la vie, aux sons des songes et aux caresses du vent. Rejoue le monde, fait de rencontres. Sculpte des temps nouveaux. Répartis les richesses. Réinvente des communs. Sans maîtres. Sans traitres.