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Véronique Jannot, une des actrices les plus douées de sa génération, a tenu le journal du film dont elle est la vedette, “La dernière image” de Lakhdar Hamina, cinéaste inspiré de “Chronique des années de braise”. Son récit nous entraîne dans les marges de ses longues semaines de travail et d’effort, du premier tour de manivelle au couronnement du festival de Cannes. Étrange voyage, quasi initiatique, qui mène la solitude d’un désert, et parfois du désert d’une solitude, jusqu’à la folie si particulière des médias régnant en maîtres sur la Croisette... Mais, un film, ce n’est pas qu’un peu de pellicule impressionnée ; c’est des êtres vivants, avec des colères, des joies, des découragements, des espérances. Véronique Jannot nous le fait très bien ressentir. Refusant toute complaisance, elle ne nous cache rien des hauts et des bas qu’elle–même a connus dans une entreprise encore compliquée par les déchaînements d’une nature qui exacerbait les réactions des hommes. Rarement, je crois, on avait décrit — avec tant d’humour et de tendresse — la façon dont un chemin — si rudement escapé — finit par se métamorphoser en tapis route. Véronique Jannot ? Un joli brin de plume, au bout d’un joli brin de fille... François Chalais.