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"Ich bin kein Verbrecher!", schrieb ihr 1946 Herbert, ein junger Deutscher, den Yvette Z'Graggen kurz vor Kriegsausbruch in Genf kennengelernt hatte, nach seiner Rückkehr aus der Gefangenschaft. Während der Kriegsjahre und darüber hinaus verband sie eine enge Brieffreundschaft mit ihm. Herberts Briefe sind ein ergreifendes Zeugnis vom Leben eines jungen Menschen im Deutschland jener Zeit. Eindrucksvoll zeigt sich aber auch Yvette Z'Graggens Gespür für Herberts Bedürfnis nach Achtung und Freundschaft und ihre moralische Kraft, diese aufrechtzuerhalten. Doch nach 1950 wendet sie sich ab von Deutschland, das sie aus ihrem Gedächtnis tilgen möchte. "Ich schämte mich, dass ich mich seinerzeit von jenen an Wagner gemahnenden Inszenierungen, jenen Fackeln und Gesängen hatte verführen lassen." Erst drei Jahrzehnte später wagt sie eine behutsame Wiederentdeckung, den Versuch einer Versöhnung: Mit dem Besuch der Gedenkstätten des deutschen Widerstandes gegen den Nationalsozialismus in Berlin verändert sich allmählich Yvette Z'Graggens Bild von den Deutschen. Unerbittlich setzt sie sich mit der Vergangenheit und auch den Rissen in ihrer eigenen Lebensgeschichte auseinander.