Dès le XIXe siècle, les lecteurs de La Sepmaine, dont le succès avait été retentissant auprès des contemporains, se trouvèrent gênés par la double nature du texte : éloquence poétique d'un côté, encyclopédisme de l'autre. Plutôt que de louer l'un pour dénigrer l'autre, Jan Miernowski essaie de reconstruire le langage cohérent qui permet de comprendre la Sepmaine comme un tout, langage de la dialectique, qui restait parfaitement familier aux premiers lecteurs de Du Bartas.