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El texto que JRJ tituló Diario íntimo, a imitación de Amiel, es el único diario «al uso» que escribió, aunque más tarde el epígrafe «diario» aparezca con frecuencia en su obra para referir textos líricos en prosa y verso publicados según su cronología de redacción. En sus páginas se recogen las vivencias y reflexiones del poeta en Madrid entre el 28 de octubre y el 27 de noviembre de 1903. Es este uno de los más importantes años de su juventud: funda la revista Helios, publica Arias tristes y se convierte en el más reconocido de los modernistas españoles. Tras abandonar el Sanatorio del Rosario, donde convalecía de una pertinaz neurastenia, convivirá con el psiquiatra Luis Simarro y su discípulo Nicolás Achúcarro en la casa particular del primero. Mientras escribe este diario se mueve en los ambientes de la Institución Libre de Enseñanza, prepara los números 8 y 9 de Helios y visita a artistas, escritores e intelectuales de la época. Mantiene correspondencia regular con Rubén Darío; retrata la atmósfera que se respiraba en casa de los Martínez Sierra, por entonces sus más cercanos amigos; alude con frecuencia a sus amoríos de juventud, entre ellos los tan polémicos mantenidos con algunas de las monjas del Sanatorio del Rosario, y anota personalísimas reflexiones sobre su estado anímico o la llamada «vida literaria» de la capital. Al cuidado de Soledad González Ródenas, la presente edición incorpora notas e ilustraciones, ofrece en apéndice una selección de textos relacionados con el Diario y reproduce los facsímiles de las 61 páginas manuscritas del original.