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Après le Journal Impoli et le Journal d'un mauvais Français, Christian Millau nous revient avec un Dictionnaire à sa façon. Ici et là, on fait son bonheur d'une définition d'une ou deux lignes : Alcool : c'est le vin de messe des mécréants. Art contemporain : on se précipite dans les expositions pour voir des choses qu'on ne voudrait jamais avoir chez soi. Caisses : quand François Hollande est arrivé à l'Élysée, elles étaient vides. À présent, il n'y a plus de caisse. Clandestin expulsé : nomade interrompu dans son projet de société. Communisme : ça marche, il suffit de le privatiser. Les Chinois l'ont compris. Femme moderne : variété de cabine téléphonique à hauts talons. Mort : nuit gravement à la santé. Ailleurs, sur quelques pages, Christian Millau croque sur le vif de grandes figures de la littérature ou des arts qu'il a bien connues : Joseph Kessel lui racontant l'Afghanistan, Antoine Blondin sobre, Jean Giono révélant un Machiavel inconnu, Jean Anouilh assailli par des gauchistes qui veulent lui faire la peau, Georges Brassens dans son gourbi où courent les rats, Charlie Chaplin s'asseyant dans le fauteuil où Molière est mort... De A à Z, de Depardieu à Trierweiler, de BHL à DSK, de Céline à Montebourg ou de Bonaparte à Sarkozy, entre vacherie et tendresse, gravité et légèreté, provocation et émotion, grande Histoire et petites histoires, journalisme et littérature, Christian Millau nous entraîne une nouvelle fois dans un tourbillon tonique d'où l'on sort la tête en fête. «Quelle pêche ! Quelle tchatche ! Quelle niaque ! Il est de ces hommes qui avec l'âge se moquent du qu'en dira-t-on, des discours convenus et qui lâchent leur vérité avec une franchise jubilatoire.» Bernard Pivot, Journal du Dimanche «Un siècle palpite dans son style comme la pépite dans la main du chercheur d'or. Ce Millau, c'est un soleil ! François Ceresa, Le Figaro Magazine «C'est la quintessence de l'art de chroniquer.» Marc Lambron, Le Point «Brillantissime et drôle à éclater. C'est le genre de bouquin que je garderai près de moi toute ma vie, entre Jules Renard et Léautaud.» Gérard Collard, Coups de coeur des Libraires, LCI, la 5, France Inter «Un esprit libre qui défouraille à tout va sur notre époque percluse de politiquement correct.» Jérôme Dupuis, Lire «Il a l'Histoire à l'oeil. Sa mémoire est une malle aux trésors. Ni désespoir ni nostalgie mais une vraie gourmandise de la vie.» Bertrand de Saint Vincent, Spectacle du Monde