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Warum bestehen unter den Philosophen in Bezug auf fast alle Fragen Meinungsverschiedenheiten? Ermöglichen die Sachverhalte der Philosophie denn keine allgemeingültigen Erkenntnisse? In der vorliegenden Arbeit wird die These vertreten, dass in der Philosophie darum kein intersubjektiver Konsens herrscht, weil die Erlangung vieler philosophischer Erkenntnisse eine angemessene ethische Lebensweise bedingt.Unter Rückgriff auf die Beiträge von Platon, Augustinus und Dietrich von Hildebrand wird der Nachweis erbracht, dass und wie sich die Möglichkeit philosophischer - d. h. nicht durch empirische Beobachtung fundierter und durch Gewissheit charakterisierter wissenserweiternder - Erkenntnisse sowie die Abhängigkeit ihrer Erlangung von der Erfüllung ethischer Bedingungen begründen lässt. Während Ersteres mittels des notwendigen, in einer notwendigen Soseinseinheit gründenden Sachverhalts gelingt, sind sich Platon, Augustinus und Dietrich von Hildebrand in Bezug auf Letzteres dahingehend einig, dass die jeweiligen ethischen Bedingungen vom Erkenntnisobjekt vorgegeben werden. Setzt das Indifferente zu seiner Erkenntnis keinerlei zu erfüllende ethische Bedingungen voraus, so steigern sich diese in dem Masse, in dem das zu Erkennende sinnvoller und bedeutsamer wird.