Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Ist die Finanzkrise vorbei? Können wir zur Tagesordnung übergehen? Haben wir die Fragen gelöst und wissen wir, wie es weiter geht? Antworten gab es schon vor den Fragen. Alle Zeitungen hatten Ende 2008 Sonderseiten herausgebracht, mit denen sie die Krise einfach erklären wollten. In der Öffentlichkeit erläuterten dieselben Wirtschaftsweisen, Wirtschaftspolitiker und Bankenchefs, die die V- gangenheit gesteuert hatten, warum die Krise kam und wie wir die Zukunft me- tern werden. Dabei gaben sie anfänglich noch gerne zu, dass sie und ihre Kol- gen (Kolleginnen gab es weniger) von falschen Annahmen über das selbstständige Wirken des Marktes, die abnehmende Rolle des Staates in der Wirtschaft und die Erfolge einer rein finanziellen Unternehmensführung geleitet worden waren und falsche Prognosen und Einschätzungen verbreitet hatten. Sie sprachen von der Notwendigkeit von Regulierung statt Deregulierung, von Verstaatlichung statt von Privatisierung, von unmoralischen statt von Top-Managern, von nachhaltiger Wirtschaft statt vom shareholder value, von Brot und Arbeit statt von der Eig- kapitalrendite. Für das Andere, das Unverständliche, kamen kurzfristig die anderen, die Philosophen (Süddeutsche Zeitung), Psychoanalytiker (Handelsblatt), Ethiker und Alternativen zu Wort. Doch das ist nun alles vorbei. Das Geldsystem hat sich stabilisiert und an die staatlichen Defizite haben wir uns schon gewöhnt. Die- nigen, die uns die schlimmste Krise seit 100 Jahren prophezeit hatten, erfreuen uns nun wieder mit optimistischen Prognosen, wenn man nur "der Wirtschaft" ihren Lauf lässt und ihr nicht in den Rücken fällt.