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Wolfgang Hermanns Erzählungen zeichnen auf kleinem Raum eine ganze Welt. Zwei junge Männer verlieren sich in einer endlosen Dämmerung. Der Mann auf der Parkbank erschafft durch seinen zärtlichen Blick den Park, den sonst keiner sieht. Ein Mann geht tagaus tagein wie ein Gespenst am kleinen Provinzbahnhof auf und ab. Es heißt, er warte noch immer auf seinen im Krieg verschollenen Sohn. Einer geht zu Fuß den weiten Weg durch den Vinschgau nach St. Christoph am Arlberg, nachdem ihm in Bozen das Fahrrad gestohlen wurde. Die letzten Gesänge erzählen vom Ausverkauf eines Landes, von einer verschwindenden Welt. Eines Morgens erstrahlt die Kleinstadt in tiefgelbem Licht vom Wüstensand, den ein Wind herbeiträgt. Der Wanderer bricht auf und sieht von einem Hügel weit hinaus bis ans Ende der Welt. Erzählungen wie Bruchstücke einer verwundeten Welt, die durch den Blick eines Einzelnen zu neuer Anwesenheit findet.