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»Was hilfts, dass wir für Tags aufstehn Und auf uns laden Sorgen viel?«
Amalie Skram (1846–1905) legte 1890 den dritten Band ihres Großwerks vor: »S. G. Myre«. Darin kehrt sie nach Bergen zurück, das zum Schauplatz alltäglicher familiärer und geschäftlicher Verstrickungen wird. In einem breiten Erzählpanorama wird das Treiben auf den Straßen ebenso lebendig ausgemalt wie die emotionalen Ausschläge des Liebeslebens ihrer Bewohner. Amalie Skram richtet ihren Blick auf alle sozialen Schichten, sowohl auf die Häuser der Konsuln und Großhändler als auch auf die armen Behausungen der Dienstmädchen und Lagerangestellten, und zeigt die Nöte, Träume und Enttäuschungen der ganzen Bergener Gesellschaft.