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Der vorliegende Band bildet die Erganzung des gleichnamigen Handbuch artikels von ADELE HARTMANN vom Jahre 1930. Damals befand sich die Spleno logie - vom morphologischen Standpunkt aus gesehen - in einer gewissen Stagnation. Die mikroskopische Erforschung der Milz (vgl. LERNER, 1957; HERRLINGER, 1958a, b, 1967; MAHLENBREY, 1959; TISCHENDORF, 1969a) hatte mit WEIDENREICH (1901a, b, 1903) und MOLLIER (1909/ll) einen vorlaufi gen Abschluss erreicht, und seit der Zusammenfassung von SoBOTTA (1914) war - von den Arbeiten HuEcKs (1928ff. ) und einiger anderer abgesehe- nichts wesentliches mehr hinzugekommen. Dagegen hatte die Experimental physiologie durch die Untersuchungen BARCROFTs (1925ff. ) uber die Blutspeicher funktion der Milz einen nachhaltigen Auftrieb erhalten, der mittelbar auch die Morphologie beeinflussen sollte: Die Frage, inwieweit sich die an Hund und Katze gewonnenen Ergebnisse auch auf andere Species, besonders den Menschen, uber tragen liessen, fuhrte schliesslich zur Lehre von den Milztypen (v. HERRATH, 1935 ff. ). Zu dieser neuen Betrachtungsweise trat eine neue Untersuchungstechnik: Die Lebendbeobachtung mit dem Quarzstabmikroskop (KNISELY, 1936ff. ) brachte auch die Diskussion um die terminale Strombahn der Milz wieder in Gang. In dieser auf zweifache Art funktionell orientierten neuen Milzforschung dominierten zunachst die den Kreislauf betreffenden Gesichtspunkte. Zwar hatte schon HoEPKE (1933ff. ) gezeigt, dass die Milz nicht nur als Zirkulations-, sondern auch als Stoffwechselorgan zu werten sei- und auch v."