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Während die Gartenkunst noch am Ende des 18. Jahrhunderts innerhalb der «Bildenden Künste» ihre Führungsposition behaupten konnte, verlor sie diese durch Goethes Kritik. Obgleich der junge Dichter selbst eine Gartengestaltung nach englischem Vorbild forderte, ging es ihm später zunehmend um die grundlegenden Maximen der Kunst und damit um Rubriken und Ordnungsprinzipien, worin die Gartenkunst keine Rolle mehr spielen sollte. Die Kritik an der Gartenkunst teilte er zeitgleich mit Schiller, der nach seiner kritischen Kantlektüre ebenfalls nach dem allgemein-ästhetischen Gesetz in der Kunst suchte. Der Autor nimmt in seiner Arbeit anhand der ästhetisch-theoretischen Schriften der Weimarer Klassiker und des unbekannten Philosophen Krause eine Einordnung der Gartenkunst in den Kontext der «Bildenden Künste» vor. Dabei geht es auch um Verhältnisbestimmungen zu den Gattungen der Architektur, Landschaftsmalerei und Bildhauerkunst. Mittels eines umfangreichen Textmaterials wird gezeigt, warum sich Goethe und Schiller von der Gattung der Gartenkunst verabschieden und warum ihr Krause eine Sonderstellung in der Gattungshierarchie einräumt.