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Mario Vargas Llosa gehört zu den frühen Lesern Onettis; bereits 1967 hat er emphatisch auf ihn als den "eigentlichen Meister" hingewiesen. Seine lebenslange Faszination hat er in diesem Essay mit der ihm eigenen Klarheit dargelegt, als Gang durch Leben und Werk des großen Autors aus Lateinamerika.
Er schreibt über Onettis Erzählkosmos Santa María, sein Verhältnis zu Roberto Arlt, den Einfluß von Faulkner und Céline, die ambivalenten Bezüge zwischen der Literatur Borges' und Onettis. Vargas Llosa taucht ein in das Werk Onettis und zeigt, auf welch subtile und zugleich kraftvolle Weise dort die parallele Welt dargestellt wird, die die Menschen sich neben dem faktischen Leben schaffen.
Seine Bewunderung resümiert Vargas Llosa so: "Das ist das Geheimnis des geglückten künstlerischen Werkes: Wir genießen: leidend, werden verführt und bezaubert, während es uns eintaucht in das Böse, das Grauen. Diese paradoxe Metamorphose ist den wahren Schöpfern vorbehalten, deren Werke sich über Zeit und Raum ihres Entstehens hinwegsetzen. Onetti war einer von ihnen."