Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
« Depuis le cinquième étage de notre appartement, par la fenêtre de la chambre de ma mère, je regardais avec des yeux étonnés le cadavre pâle de la femme en chemise de nuit blanche, presque transparente, qui gisait recroquevillé en bas, sur le gazon humide. C’était l’aube dans notre quartier de la périphérie rémoise. Il faisait froid. Je restais accroché à la fenêtre, je regardais sans pouvoir détacher mes yeux de ce cadavre que la bise froide du petit matin semblait caresser doucement et faire se remuer ses longs cheveux blancs. J’avais l’étonnement et la curiosité des enfants de mon âge. »C’est par ces mots que commence le récit d’une enfance, celle d’Aïssa, celle de bien d’autres, dans les faubourgs d’une ville dont la devise est « Dieu en soit garde ».