Le monde de Dieu t'aime est violent et quotidien ;
quotidiennement violent. On y assiste à la lente chute d'Yvan Horta,
boxeur en fin de carrière, quadragénaire divorcé. Une époque tragique
et dérisoire, révélée par une langue puissante et incisive, profondément
rythmique. Une pièce sans complaisance que l'on reçoit comme un
coup de poing.