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Die Rangfolge bundesdeutscher Finanzminister (1-19) bezeichnet rein fiskalisch gesehen den Ersten als Erfolgreichsten (griechisch: A), den letzten (griechisch: _) derzeit amtierenden "(Schatten)Schuldenminister" als Verlustreichsten.Mit Stoltenberg begann das magische Zeitalter, die bipolare Symbiose aus ökonomischen Hoffnungswerten und öden Finanzierungsmisserfolgen mittels diverser buchhalterischen Tricks "schönzurechnen". Mit Waigel startete und entartete die Ära der Dunkelziffern aus deutschen Schatten(schulden)haushalten und EU- bzw. damals noch EG- (ehemals EWG- bzw. WWG-) Haushaltsmanipulationen, die im Prinzip als Blaupause wirtschafts- und finanzpolitischer Täuschungsabsichten im "Märchen um 'Griechenlands Rettung'" kulminieren.Lafontaine scheiterte in seiner kurzen Amtsperiode daran, die Monetärpolitik nach amerikanischem Vorbild der (Vorkrisen)Zeit Greenspans als effektives und effizientes Instrument zur Vermeidung gesellschaftlicher Vermögensverteilungsschieflagen zu nutzen.Eichel leitete als Finanzminister die erste Epoche offenkundiger Verzweiflungsakte der "Privatisierung" ein, Staatseinrichtungen und -Anlagevermögen zu "verscherbeln", ein wenig "(Staats)Kasse zu machen" und zudem Rentenbezieher mit zusätzlichen Krankenversicherungesabgabenleistungen beanspruchen zu wollen.Mit Steinbrück prägte die Irrationalität der öffentlichen Finanzpolitik pathogene Züge aus: Kredite sollten der Besteuerung unterliegen.Schäuble schliesslich vereinte Stoltenberg, Waigel, Eichel und Steinbrück in Personalunion, den deutschen Bürger schwäbelnd mit der Aussage entwaffnend zu enteignen: "'sischhallso!".Zu guter Letzt, Scholz': Sein Einfall, Bürger vornehmlich mit Sparan- und Einlagenreizen zu versorgen, ihnen über Aktieninvestitionen heimlich wieder Transaktionssteuern sogar auf Kleinstkapitalerträge abzufordern, ist nicht weniger wirksam als Beides zu unterlassen.