Ils prennent la pose et le soleil remplace le ciel. Nous venons ici pour différentes raisons : certains pour bouger d'autres pour disparaître.
Du fond des pièces tout bruit est chassé, aussi celui des montres et les oiseaux confondent les arbres en échos. Ils chantent à pluie.
Un orbe lumineux à ton bras, toujours, ou derrière toi. Dans une photo surexposée tu as deux têtes, jumelles, puis l'explosion d'or dans les profondeurs t'enlace.
Des cicatrices photographiques sous la peau, des orbites chaudes organisent des vertiges. Notre amour est une graine cet hiver.