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Ce second tome des Documents Stephane Mallarme revele le poete, le traducteur et surtout l'epistolier. A la nue accablante tu, ecrit en 1887 ou 1888 et publie en 1895, est l'une des compositions les plus difficiles de Mallarme. Ce sonnet a beaucoup alimente la polemique d'alors concernant la poesie des symbolistes en general, et celle de Mallarme en particulier. Quelques precisions relatives a l'historique de la publication du poeme controverse sont ici donnees. Mallarme, on le sait, a traduit plusieurs poetes anglo-saxons, notamment Edgar Allan Poe. La traduction qu'il donna de la celebre Godiva, poeme d'Alfred Tennyson (1809-1892), resta inedite jusqu'en 1970...Le brouillon de cette traduction, meticuleusement reproduit par Carl Paul Barbier, est donc bien precieux. Mais ce tome laisse la part belle a l'epistolier. On trouvera d'abord la correspondance (souvent pittoresque) avec Robert de Montesquiou, s'etalant sur vingt annees, puis le "morceau de choix" les lettres, si pleines d'affections, de charme (un ronronnement de chat) entre Mallarme et "ses Dames", sa femme et sa fille Genevieve. Echanges d'autant plus touchants qu'ils occupent les deux dernieres annees de la vie du poete. Une quinzaine de jours avant sa mort, le "Papa" ecrit a sa fille: "Un orage, que nous eussions retenu a pleins bras, a passe sur le pays (...) le travail de l'apres-midi a fondu"...