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«À la fin de l'automne deux mille huit, quelques mois après que mon premier roman était paru et que, contre toute attente, ce même premier roman avait reçu un prix littéraire, dont je ne saurais dire s'il a été pour moi une aubaine ou l'occasion d'un effondrement, à la fin de l'automne deux mille huit, donc, je me suis retrouvé dans la position d'écrire un second roman, pour que le premier ne soit pas l'ultime et, par là même, pour que mon Grand Art ne soit pas comme une antiphrase, une farce dans cette vie que j'avais déjà eu tant de mal à reconquérir, après trente années d'errance et, il faut bien le dire, de dérives pathétiques, où je n'avais guère fait que sucer le venin de l'époque, que ce soit sous forme de drogues dures ou plus simplement d'activités culturelles, toutes choses qui m'avaient si bien détraqué la tête qu'aujourd'hui encore j'en reconnais les séquelles à ce que mon esprit s'écroule perpétuellement sur lui-même...»