Le président de l'Association des
écrivains catholiques de langue française
m'honore de son amitié. J'en
étais déjà flatté, mais, après avoir lu
ses mémoires, j'en suis ému.
Ce qui cause mon émotion, c'est
l'admiration que j'éprouve pour un
homme que je prenais pour un
modeste et compétent spécialiste du
Saint Suaire, agréable compagnon de
table (il se prétend «grand soiffard»,
mais il avoue me rendre des points),
et qui se révèle être
«un homme, un vrai» dans le sens
le plus profond du terme.
Vladimir Volkoff