Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Devenir un sujet « humanisé » est l’enjeu profond de tout travail psychothérapique. Qui plus est quand celui-ci utilise la médiation du corps, dans l’objectif d’éprouver son corps, de l’habiter, de se sentir vivant à l’intérieur de sa maison-corps.
A travers sa clinique du bébé, de l’enfant et de l’adolescent, Catherine Potel interroge le travail du thérapeute qui écoute le corps de l’autre avec son corps, son regard, ses perceptions. Pour cela, elle développe la notion de contre-transfert corporel. Elle conceptualise ainsi le cheminement interne du thérapeute, qui se trouve souvent confronté au bruit et à la fureur, au chaos ou à l’opacité d’une motricité détournée de ses fonctions d’expression et de symbolisation, alors que la construction du sujet dans sa globalité est parasitée, perturbée, empêchée.
Grâce à Jomo, Elise, Rose et les autres, elle montre à quel point l’écoute contre-transférentielle du corps des patients est un préalable à l’aide qu’on peut leur apporter pour la reprise de leur développement et leurs processus de subjectivation.
Ce travail de mise en pensée du primitif permet au patient de trouver ou retrouver sa capacité de transformation des sensations en émotions, en sentiments, en pensées, en langage. Le propre de l’humain.