« À quoi bon accoler deux systèmes de représentation aussi communs l'un que l'autre ? Pourquoi représenter un fait aussi banal ? Quelqu'un a-t-il besoin de savoir qu'un cube comporte six mêmes faces ? Un écolier ? Si le terme "développement géométrique" ne lui est pas familier, ne connaît-il pas du moins les apparences d'un cube ? Et qui ignore ce qui sépare ou relie, ce qui différencie ou apparente le solide au plan et le cube au carré ? Qui, en 1972, ne sait pas la représentation bidimensionnelle de l'univers tridimensionnel, le problème d'Alberti, ce Florentin du Quattrocento ? Matité quotidienne. Serait-ce là le reflet de l'innocence naïve propre à un anachronisme de l'imaginaire ? »