Du néant de la vie
« Nous sommes là assis ensemble, etnous parlons, et nous nous agitons, nos yeux brillent, nos voix s'élèvent. D'autres se sont assis là absolument de même, il y a des milliers d'années. »
Confronté au néant de la vie qui mène inéluctablement à la mort, Arthur Schopenhauer s'interroge sur ce primat de la Volonté, ce régime d'instincts, de pulsions et de désirs aveugles, qui nous pousse, malgré tout, à vouloir vivre.